Les travailleurs français peuvent être amenés à travailler dans des zones où l’air intérieur n’est pas de la meilleur qualité. En effet, plusieurs professions comme par exemple les chimistes et les prothésistes utilisent des produits qui peuvent polluer l’air intérieur avec des polluants pouvant être dangereux pour la santé ou l’environnement.
L’Etat à donc mis en place des valeurs limites d’expositions (VLE) qui limite la quantité de polluant dans une zone fréquentée par des travailleurs.
Néanmoins, les valeurs limites d’exposition professionnelle ont des limites :
- Certains agents cancérigènes fonctionnent sans effet de seuil : ils ont des effets même a très faible dose.
- Ces valeurs guides n’intègrent pas la pénibilité du travail qui peut accroître la pénétration des polluants dans l’organisme.
- Ces valeurs ne tiennent pas compte de l’exposition de l’organisme par les voies cutanées ou digestives.
- Elle ne sont pas définitives et progressent en même temps de que la recherche.
L’intégralité de la liste est disponible ici, sur le site de l’INRS : Valeurs limites d’exposition professionnelle aux agents chimiques en France.
Afin de réduire la quasi-totalité des éléments polluants, nous recommandons l’usage d’un purificateur d’air Blueair, qui détruit la quasi-totalité des virus et germes de bactéries dans l’air ainsi que les mauvaises odeurs. Les purificateurs Blueair sont recommandés dans le monde professionnel et sont testé efficacement par des laboratoires indépendants.
Les polluants se déplacent mieux dans l’air si celui-ci est sec. Un air humide fait retomber les virus et au sol alors que l’air sec les déplace au niveau du nez et de la bouche.
La qualité de l’air dans un espace de bureau est très importante, et trop souvent négligée. L’objectif général du contrôle climatique est d’avoir un environnement où il ne fasse ni trop chaud ni trop froid, ni trop humide ni trop sec et sans courants d’air ni odeurs. L’humidité de l’air joue beaucoup sur le confort des travailleurs même si ceux-ci ne s’en rendent pas forcément compte.
L’air trop sec à pour conséquences sur le bien-être et la santé dans les espaces de travail :
- Assèchement des voies nasales et respiratoires.
- Difficulté à parler, surtout dans les profession impliquant une usage de la voix fréquent.
- Transmission des virus et bactéries expulsés par les individus qui restent trop longtemps en suspension dans l’air.
- Assèchement de la peau qui engendre des démangeaisons.
- Sécheresse oculaire (pouvant entraîner des irritations voire des inflammations)
- Augmentation des poussières et particules fines qui peuvent irriter les poumons ou provoquer des maladies.