Avec les chaleurs intenses qui sévissent actuellement dans l’hexagone, les risques causés par la pollution sont amplifiés. En effet, l’absence de vent provoque non seulement une hausse de la température, mais empêche également les polluants de se disperser dans l’air. Ces derniers vont alors s’accumuler et ainsi la pollution atmosphérique va s’accentuer et se maintenir. Lundi 22 juillet 2013, avec 35°C de température moyenne en France, les concentrations d’ozone dans l’air ont dépassé le seuil d’information européen en Île-de-France, dans la vallée du Rhône et sur le bassin Lyonnais.
L’ozone et le soleil sont étroitement liés. En effet, l’ozone est un polluant secondaire, qui se forme à partir des polluants atmosphériques (émissions des gaz d’échappement, activités industrielles ou encore peintures, etc.) exposés au rayons ultraviolets . Si l’ozone peut, à très haute altitude, nous protéger des rayons nocifs du soleil, il s’avère également dangereux. L’ozone présent en trop forte quantité au niveau de la basse atmosphère a des effets néfastes sur notre santé. Cette situation est alarmante car la chaleur actuelle s’annonce durable et la pollution à tendance à se stabiliser lorsqu’elle atteint un niveau trop élevé.
Les conséquences sur notre santé sont nombreuses. Tout d’abord, on observe généralement des effets immédiats et inconfortables, tels que des irritations des yeux, du nez et de la gorge. Ensuite, les populations fragiles présentent des crises d’asthme plus fréquentes. La pollution peut également provoquer des troubles respiratoires ainsi qu’une toux et des nausées. Il devient aussi plus difficile de se déplacer pour les personnes sensibles (personnes âgées, enfants, asthmatiques, etc.). À plus long terme, les risques sont réellement inquiétants : les spécialistes parlent notamment de cancer, de stérilité et d’infarctus du myocarde.
Cependant, la pollution atmosphérique extérieure s’invite aussi chez nous. D’ailleurs, nos logements sont en moyenne 5 à 10 fois plus pollués que l’air extérieur. Il apparaît alors nécessaire de se protéger. Le purificateur d’air Blueair muni du système de filtration breveté « SmokeStop » permet une élimination jusqu’à 99.97% des particules nocives présentes dans notre air intérieur. Ses filtres combinent une filtration mécanique et électrostatique. Le purificateur élimine ainsi les bactéries, virus, pollen, allergènes et poussières, permettant une nette amélioration de l’air inspiré par les personnes asthmatiques et/ou allergiques, et les préservant ainsi des dangers de la pollution. De plus, les filtres du purificateur d’air contiennent du charbon actif qui filtre les composés organiques volatils (COV), ainsi que les substances chimiques présentes dans l’air et absorbe les mauvaises odeurs. Enfin, il faut préciser que ce purificateur d’air, respectueux de l’environnement, ne produit pas d’ozone et bénéficie du label « Zéro Ozone ». Pour que respirer redevienne un plaisir !