Sans se focaliser uniquement sur les pics de pollutions, nous respirons tous les jours l’air troposphérique dans lequel stagnent les principaux polluants. Cette pollution de fond principalement causée par les transports routiers, fragilise nos organismes. Durant les 92 jours les plus pollués l’an passé, l’Institut nationale de Veille sanitaire a recensé 265 décés prématurés. Chaque polluant a sa part de responsabilité, ils n’agissent pas tous au même niveau. Le tableau ci-dessous résume les effets sur la santé de ces polluants.
Description des atteintes respiratoires et cardio-vasculaires sur le site de la faculté de médecine de Grenoble.
