Pollution de l’air intérieur : focus sur le CO2

Que ce soit au bureau, en télétravail, à l’école ou à la maison, le constat est le même : nous passons la majeure partie de notre temps dans des lieux clos. Pourtant, vous devriez savoir que l’air intérieur peut être jusqu’à 8 fois plus pollué que l’air extérieur ! En cause, de nombreux facteurs et polluants, qui peuvent provoquer crises d’asthme, allergies, maux de tête, toux, etc. Pour n’en citer qu’un, le dioxyde de carbone, ou CO₂, est – malheureusement – très présent en intérieur.

Alors, pollution de l’air et CO₂, de quoi parle-t-on ?

Qu’est-ce que le CO₂ ?

Pour commencer, il est important de savoir que le CO₂ est une molécule produite et rejetée naturellement par l’organisme humain au cours de la respiration. Le calcul est simple : plus vous restez dans une pièce fermée, plus celle-ci sera polluée.

Quel est le taux idéal ?

Selon les recommandations du collectif « Projet CO₂« , le taux de CO₂ doit être inférieur à 1000pm. Dans le cas contraire, une sensation de mal-être, une irritation des muqueuses, ou encore, des maux de tête, peuvent se faire ressentir.

Comment éviter une surexposition au CO₂ ?

Afin d’appréhender ces risques au maximum, il est primordial de procéder à un renouvellement de l’air régulier.

Pour cela, plusieurs moyens existent :

• Chez vous, aérez au moins 15 minutes par jour et ce, même en cas de pic de pollution – évitez le milieu de matinée et le début de soirée -.
• Sur votre lieu de travail, au bureau, à l’école ou dans un espace recevant du public, ouvrez les fenêtres au moins 10 minutes par heure. En effet, de nombreuses études ont démontré qu’une pièce, peu ou mal ventilée, favorise la transmission de la Covid-19.
• En voiture, réglez la ventilation au minimum, mais laissez-la fonctionner en continu. Pensez également à ouvrir les fenêtres de temps à autre, surtout dans le cas d’un trajet de plusieurs heures.
• Installez un système d’extraction à simple flux (VMC) qui aspire et rejette l’air intérieur pour faire entrer de l’air extérieur. Pour un résultat optimal, pensez à le nettoyer régulièrement.
• Utilisez un détecteur de CO₂ : il permet de déterminer à quel moment ventiler, en fonction de la concentration du gaz dans une pièce.

Comment contrôler la qualité de l’air de votre logement ?

D’un point de vue général, la qualité de l’air intérieur – aussi appelée QAI – est liée à différents facteurs (température, hygrométrie relative…) et aux différents matériaux constituant votre habitat (peinture, colle, meuble, nettoyant maison…). Pour en savoir plus à ce sujet, nous vous recommandons 3 produits :

Selina : l’allié parfait pour garder un œil sur la salubrité de son logement.

Il indique en temps réel le taux d’humidité et la température de votre logement. Les valeurs sont ensuite affichées sur son écran LCD. Pour votre confort, veillez à ce que le taux d’humidité soit compris entre 40% et 60%.

VIEW Plus : La solution idéale pour bénéficier d’une vision complète de la QAI.

Il analyse en temps réel jusqu’à 7 données différentes : radon, PM2.5, CO₂, humidité, température, COV et pression atmosphérique. Facile d’utilisation, vous pouvez choisir les critères qui s’affichent sur son écran au simple passage de votre main. De plus, une interprétation des résultats est proposée sur son application : rien de plus simple !

WAVE Plus : Pour que l’air que vous respirez n’ait plus aucun secret pour vous !

Avec ses 6 capteurs, il offre la possibilité d’accéder simplement à la mesure de différents facteurs : pression atmosphérique, température, taux d’humidité, taux de CO₂, taux de composés organiques volatils (COV) et taux de radon. Intuitif, un indicateur à LED varie en fonction de la qualité globale de l’air ambiant.